lundi 24 janvier 2022

Le Mastering, c'est mystique ou magique ?

 Comme Beaucoup, en tant que µzicien électro, je me suis cassé les dents sur des refus de labels ou de netlabels, notamment par le fait que mes sons "non mastérisé" ne pouvait rendre totalement compte de l'intérêt ou du plein potentiel, et sans doute aussi pour des raisons stylistiques, mais bref.

Donc, je me suis attelé un moment donné a savoir ce que c'était, le mastering, ce nom étrange venu d'ailleurs cache une réalité plurielle et multiple : autant de masterings que de producteurs/ingénieur sonore, même si il y'a des écoles d'ingénieurerie du son et donc, des consensus, des procédés, des manières établies, on peut, si l'envie nous prend, faire tout l'inverse, et donc pourquoi ne pas faire ci ou ça si cela nous plait ?

Les oreilles, c'est le premier outil à soigner pour un mastering, car une écoute trop surchargée peut vous jouer des tours, si par fatigue, vous tombez de sommeil, mais que vous voulez finir un taff sur un son, vous allez forcément avoir des fréquences devenant plus insupportables, et qui pourtant sont nécessaire, car, figurez vous, que les non-musiciens, vos futurs auditeurs, n'en ont rien à battre que tel ou tel son soit l'héritage d'une session incroyable d'inspiration dingue, si vôtre son n'a aucune basse, comment ces auditeurs vont vibrer a son écoute ? 

Bon, certes, j'ai pris l'exemple de la basse (pour la blague sur les vibrations), mais cela est vrai pour toutes fréquences de la plus graves aux plus aigus... 

Pour la technique du mastering : je vous le dis net, c'est vous qui voyez, y'en qu'ont essayé, même qu'ils ont eu des problèmes (ils se sont retrouvés à Pau), et surtout, comme je l'ai dit, il y'a moults techniques, mais grosso modo, un seul indice au moins d'un effet à jouer : compression. 

Eh oui, le mastering, de mes souvenirs, il y'avait un vrai mystère, un flou autour de ce "mot". Alors : dé-mer-dez-vous !!!!


dimanche 31 mai 2020

LBF - 002 - Le Blogcast (31/05/2020)


LBF - 001 - le BlogCast (31/05:2020)


Clark - Body Riddle... de chez WARP



Cela remonte à loin, 2007, ce disque me faisait envie depuis que j'avais écouté la piste "Herr Barr" sur un sampler du magazine (papier) électro, Trax.

Redécouvert depuis peu dans ma CDthèque, il reste un bijou ! 
D'un point de vue technique, en tant que musicien électronique, je me creusais la tête pour savoir comment arrivait il, en partant de samples de batteries (des breaks si vous préférez), à avoir ce rendu réaliste, disons plutôt comment obtenait il des changements presque hors tempo fixe....
....Et j'ai fini par trouver, quand j'ai déterré ce trésor sur disque compact, en 2018, j'avais cette fois pas le même bagage d'expérience du sons, et donc je me suis tenté à reproduire cet effet de batterie au bpm incertain. Travaillant avec le software FL studio depuis le début, j'ai alors utilisé ce bon vieux Fruity slicer, y ait glissé un break de batterie, découpé sur le tempo du break en 1/2 beat.
Puis j'ai décalé la tonalité du break en plus haut, ce qui le rendait plus rapide, ensuite pour ce résultat espéré, j'ai simplement mis le bouton "play to end" sur on dans le slicer, il me restait plus qu'a animer ma batterie...

Bref, en gros, si votre tempo de base de vôtre son est à 95 bpm (par exemple), votre break, doit être plus rapide, ce qui donne un effet étonnant ! le plus important est de ne pas oublier d'activer le "play to end"

donc, le final donne une sorte de "tempo dans le tempo" ou 2 tempo different qui se mélangent.
 

Le Mastering, c'est mystique ou magique ?

 Comme Beaucoup, en tant que µzicien électro, je me suis cassé les dents sur des refus de labels ou de netlabels, notamment par le fait que ...