Comme Beaucoup, en tant que µzicien électro, je me suis cassé les dents sur des refus de labels ou de netlabels, notamment par le fait que mes sons "non mastérisé" ne pouvait rendre totalement compte de l'intérêt ou du plein potentiel, et sans doute aussi pour des raisons stylistiques, mais bref.
Donc, je me suis attelé un moment donné a savoir ce que c'était, le mastering, ce nom étrange venu d'ailleurs cache une réalité plurielle et multiple : autant de masterings que de producteurs/ingénieur sonore, même si il y'a des écoles d'ingénieurerie du son et donc, des consensus, des procédés, des manières établies, on peut, si l'envie nous prend, faire tout l'inverse, et donc pourquoi ne pas faire ci ou ça si cela nous plait ?
Les oreilles, c'est le premier outil à soigner pour un mastering, car une écoute trop surchargée peut vous jouer des tours, si par fatigue, vous tombez de sommeil, mais que vous voulez finir un taff sur un son, vous allez forcément avoir des fréquences devenant plus insupportables, et qui pourtant sont nécessaire, car, figurez vous, que les non-musiciens, vos futurs auditeurs, n'en ont rien à battre que tel ou tel son soit l'héritage d'une session incroyable d'inspiration dingue, si vôtre son n'a aucune basse, comment ces auditeurs vont vibrer a son écoute ?
Bon, certes, j'ai pris l'exemple de la basse (pour la blague sur les vibrations), mais cela est vrai pour toutes fréquences de la plus graves aux plus aigus...
Pour la technique du mastering : je vous le dis net, c'est vous qui voyez, y'en qu'ont essayé, même qu'ils ont eu des problèmes (ils se sont retrouvés à Pau), et surtout, comme je l'ai dit, il y'a moults techniques, mais grosso modo, un seul indice au moins d'un effet à jouer : compression.
Eh oui, le mastering, de mes souvenirs, il y'avait un vrai mystère, un flou autour de ce "mot". Alors : dé-mer-dez-vous !!!!